Souvent les maladresses de Gaston
l'éloignent de mademoiselle Jeanne qui espère une idylle plus pure.
Cette fois-ci, ces deux-là sont tous
deux enlacés.
Hauteur: 25cm - Tirage : 100 exemplaires
Livré avec son certificat d'authenticité numéroté et dans une boite en bois, 1.750€
Le chef Abraracourcix le présente
lui-même comme son guerrier « le plus sûr »!
Bien campé sur ses deux jambes et
tout rayonnant de l’honneur qu’il lui est fait d’être ainsi distingué,
irréductible entre tous les irréductibles, Astérix vous enverra tout l’optimisme et la
bonne humeur dont il est capable, effet garanti !
Tirée à 1500 exemplaires et sculptée par Pascal Rodier, cette pièce de 17 cm de haut lance la toute nouvelle collection Emblème de Fariboles, 249€
Il a la taille fine, le mollet galbé, la moustache frissonnante et la plume virevoltante. Le voilà posant pour la postérité.
Sculptée par Pascal Rodier, cette statuette de 37 cm est limitée à 499 exemplaires, 499€
Expatriée depuis 20 ans, Neige rentre
enfin à la maison.
Paris, 2010. Trois anciens amis se retrouvent à
l’occasion du retour de Neige, qu’ils n'avaient pas revue depuis cette nuit-là.
Ils ne sont plus des adolescents désormais, le drame est derrière eux. Et
pourtant, les retrouvailles sont écourtées par d’étranges phénomènes. Un cri,
un monstre arachnoïde et une immense fresque cachée le long des murs de la
maison… Où est passée Neige ? La réponse est juste sous vos yeux…
Difficile de différencier songe et réalité, mysticisme et
fantasme, mais les navigateurs sont là, prêts à nous guider dans les chemins
obscurs.
A mi-chemin entre Edgar Poe (Double Assassinat dans la rue Morgue) et H. P. Lovecraft, le sublime touche le paranormal dans ces planches signées Stephane De Caneva (La Brigade chimérique, Metropolis) et Serge Lehman (Saint-Elme, L’homme gribouillé). (Iman)
27,10€)
"Le mariage
est-il une prison ?"
C’est avec un dessin
faussement naïf que Murasaki Yamada illustre la désuétude de la vie maritale.
La femme (sans prénom dans le récit) passe ses journées à entretenir sa maison,
éduquer ses enfants, et attendre le retour de son mari ivre. Viennent alors la
solitude et la peur. Yamada évoque ces femmes qui craignent de se retrouver
abandonnées par leur époux si bien qu’elles finissent par s’écraser
complètement dès que celui-ci éprouve du mécontentement.
Dépeignant ce rapport
hiérarchique patriarcal omniprésent, tant dans le couple que dans la société, « Shinkirari »
nous questionne sur notre rapport à l’intimité, unique ou partagé, à travers
cette héroïne qui nous livre un long monologue d’introspection et de rébellion.
Un recueil intime mêlant
la beauté éphémère de la vie, des enfants qui grandissent et un chat qui
s’étire.
Comme Kuniko Tsurita
(L’envol), Moto Hagio (Le clan des Poe) et tant d’autres mangakas qui ont
refusé de faire du shôjo dénué d’originalité (et dont les personnages “n’ont
que peu de points communs avec des êtres humains réels”), Yamada dépeint le
quotidien de ces japonaises au foyer dans les années 80. Le tout avec un trait
léger et un découpage qui laisse apparaître des bulles vides pour révéler le
silence rêveur de certaines scènes.
Quelle est la place de cette épouse sans nom ? Identique à tant d'autres et rêvant de liberté quelques secondes sur son balcon avant d’étendre la lessive. (Iman)
18,50€)
Les Aigles de Rome # 7 par Marini, Dargaud, 16,20€ (17,00€)
Habemus Bastard # 2 par Sylvain Vallée et Jacky
Schwartzmann, Dargaud, 20,00€
(21,00€)
Buck Danny - Origines # 3
par Buendia, Zumbiehl et De Luca, Dupuis, 15,20€ (15,95€)
Jeremiah
# 41
par Hermann, Dupuis, 12,90€
(13,50€)
Alpha # 19 par Queireix et Herzet, Le Lombard, 12,90€ (13,50€)
Moi, Fadi, le frère volé # 1
par Riad Sattouf, Les Livres du futur, 23,00€
L'Ombre des Lumières # 2 par Alain Ayroles et Richard Guérineau, Delcourt, 22,70€ (23,85€)
Le Roi Cerf par
Servais, Dupuis, 17,10€ (17,95€)
Revoir Comanche par Romain Renard, Le Lombard, 21,40€ (22,50€)
Mages #
12 par Pinti, Péru, Follini et Nanjan,
Soleil, 15,80€ (16,60€)
Un travail pour Fantomiald par
Batem et Pothier, Glénat, 14,80€ (15,50€)
Pico Bogue # 16 par Dormal e Roques, Dargaud, 14,30€ (15,00€)
Dad # 11 par Nob, Dupuis, 11,90€ (12,50€)
Louca # 17 Bruno Dequier, Dupuis, 12,90€ (13,50€)
Klaw # 15 par Jurion et Ozawam, Le Lombard, 12,90€ (13,50€)
Spy x Family #
13 par Tatsuya Endo, Kurokawa, 6,90€ (7,20€)
-
Édition collector, 14,50€
Kill Blue #
1 par
Tadatoshi Fujimaki, Crunchyroll, 7,00€
(7,29€) - Édition limitée, 11,55€
Sand Land - Perfect Ed. par Akira
Toriyama (BIRD Studio), Glénat, 12,60€ (13,30€)
Moriarty The
Remains # 1/3 par Hikaru Miyoshi, Kana, 6,90€ (7,30€)
Land # 9 par Kazumi Yamashita, Mangetsu, 9,50€ (10,00€)
Versus # 1 par ONE et Azuma, Pika, 6,90€
(7,25€) - Édition collector, 8,95€
Gokurakugai #
3 par
Kaneshiro et Nomura, Pika, 6,90€ (7,25€)
Dandadan #
14 par
Yukinobu Tatsu, Crunchyroll, 7,00€
(7,29€)
#DRCL Midnight
Children # 3 par Shin’ichi Sakamoto, Ki-oon, 7,60€ (7,95€)
31,00€)
Comment la bande dessinée belge a-t-elle
conquis le monde entier jusqu’à se retrouver sur les rayons des librairies de
Singapour ou sur les plateaux de tournage d’Hollywood? Pour répondre à cette
question, une nouvelle exposition permanente, intitulée "Un siècle de BD
belge", a été installée à l'étage du Centre belge de la bande dessinée
(CBBD) à Bruxelles.
le Musée de la bande dessinée vous
invite à explorer cent ans d’histoire incroyable de la bande dessinée
"made in Belgium", présentés dans un cadre luxueux plein de noir, de
blanc et d’or.
« Au milieu du XXe siècle, la
Belgique s’impose en Europe comme le pays phare de la bande dessinée par
l’inventivité de ses artistes et le dynamisme du monde éditorial belge. Pour
conquérir le lectorat populaire, les personnages nés dans la presse sont
rapidement sortis des frontières et des cases. Merchandising, publicité, dessin
animé, cinéma, radio, télévision, jeux vidéo… ont permis aux héros « made in
Belgium » de s’enraciner dans l’imaginaire collectif et de traverser les
générations.
Un siècle de BD belge illustre les
secrets de cette épopée, dans une exposition immersive, poétique et accessible
à tout âge. »
(Pour regarder, cliquez sur la vidéo ou
sur ce lien.)
Sultans of Manga ouvre une galerie
d'art dédiée au manga à Anvers.
Elle est consacrée au manga et plus particulièrement
aux œuvres originales des mangaka japonais de l'ère Shōwa.
Cette période correspond non seulement
au règne de l'empereur Shōwa (plus connu sous le nom d'empereur Hirohito), mais
elle marque aussi la présence d’Osamu Tezuka, le dieu du manga (Manga no
Kami-sama).
La boutique en ligne propose déjà une large variété d'artistes, allant des plus connus à ceux issus des milieux les plus underground. La galerie sera un peu différente, offrant une sélection plus affinée de ces artistes...
