Edition Collector Canal BD de l’album «L’Étreinte» par Laurent Bonneau et Jim.
L'histoire complète en couleur avec un cahier supplémentaire contenant une séquence supplémentaire inédite et les commentaires des auteurs. Tirage limité à 1200 exemplaires. Couverture spécifique avec pelliculage soft touch. 29,90€.
Edition classique Bamboo à 28,60€ (30,05€).
Nous avions le « Club Dorothée », ils ont Netflix… Pourtant, à l’instar de vos parents, vous vous posez probablement des questions concernant ces animés tirés des mangas que vos enfants dévorent.
Mais d’où vient ce succès qui semble ne jamais s’épuiser ? A vrai dire, il faut nuancer ceci. Dans les années 80, lorsqu’arrivent les premières traductions en français de mangas, le public découvre un livre moins cher et plus volumineux qu’un album de BD franco-belge. Facile à prêter, on se partage les séries dans les cours de récréation. Mais surtout, là où minimum 1 an sépare deux tomes d’une série BD, les suites de mangas paraissent tous les 2-3 mois. Le Japon regorge de bonnes séries jamais éditées en français mais déjà publiées au pays du soleil levant. Il suffit de les traduire (parfois trop vite et mal d’ailleurs) et hop ! en librairie. Arriva, ce qui devait arriver, le stock de séries finies au Japon s’épuisa et les éditeurs francophones n’eurent d’autre choix que de se rabattre sur les séries en cours. Résultat, un ralentissement du rythme de parution associé à l’arrêt du Club Dorothée engendra une baisse d’intérêt (toute relative quand même) pour le manga.
Mais voilà que le boum des plateformes de streaming ramène les dessins animés japonais sur le devant de la scène. Un lockdown plus loin, une nouvelle génération de téléspectateurs d’abord, de lecteurs ensuite émerge. L’industrie du manga est relancé : on réédite les classiques (avec cette fois de bonnes traductions), on traduit les spin off, on découvre de nouvelles séries.
Alors, faut-il s’inquiéter que nos enfants lisent ces livres venus d’ailleurs ?
Le premier point à relever, c’est qu’ils lisent, tout simplement. On va quand même pas s’en plaindre. D’autre part, la qualité des récits est plutôt de bonne facture. L’histoire de « Naruto » n’est pas sans rappeler celle d’ « Harry Potter », les deux étant nés par ailleurs quasi la même année. Si « One Piece » s’étend sur 99 volumes (en cours), on est surpris de découvrir que l’univers continue à tenir la route et l’intrigue à avancer vers une fin que l’auteur a, semble-t-il, déjà écrite.
Nous ne nous plaindrons pas non plus d’entendre nos chérubins s’enthousiasmer pour une autre culture que la nôtre, voire exprimer le désir de visiter le Japon.
Enfin, l’offre actuelle de mangas sur le marché francophone est tellement large qu’il ne devrait pas être très compliqué pour vous d’y trouver votre propre bonheur.
Dr. Stone (Glénat) Le destin de la Terre est bouleversé en une fraction de seconde : l’humanité entière se retrouve changée en pierre ! Des milliers d’années plus tard, Senku et Taiju, deux lycéens de Tokyo, se réveillent et décident de rebâtir la civilisation à partir de zéro.Dr. Stone est un récit de survie prônant la science et l’évolution.
Tokyo Ghoul (Glénat) L’homme est menacé par les goules, des prédateurs cannibales qui se dissimulent au sein de la société. Alors que Ken Kaneki est mortellement blessé à Tokyo, il survit grâce à la greffe des organes d’une goule… Devenu malgré lui mi-humain, mi-goule, des envies cannibales le torturent et bouleversent sa vie.
Au 12ième siècle, Ghensis Khan crée le plus vaste empire de l’histoire
grâce à la puissance de chevaux mongols très particuliers… Ces « chevaux » sont
en réalité des mains humaines géantes totalement autonomes et prélevées sur le
corps de divinités titanesques… Tantôt utilisées comme montures, comme force
motrice, comme armes ou comme prothèses, Shintaro Kago dévoile le rôle central
que les chevaux mongols ont joué dans les grands bouleversements de l’Histoire!
L’auteur multiplie les images-chocs tout au long du récit pour délibérément
susciter un malaise chez le lecteur et le faire réagir. Mais ces images ne sont
pas que fascination malsaine et portent toujours en elles un propos
dénonciateur : la conquête sanglante de nouveaux territoires par les puissances
mondiales au 14ième siècle, la brutalité économique et sociale de la révolution
industrielle, l’abomination du Fordisme, l’exploitation des femmes et de leurs
corps au cours des siècles... Cette relecture de l’histoire baignée dans un
humour absurde et subversif est une expérience de lecture étrange et déjantée
dans laquelle Shintaro Kago réussit à stimuler notre imagination, à nous
surprendre, nous faire réfléchir, à soulever nos sens et à nous retourner comme
une crêpe dans un grand éclat de rire !!
(Philippe)
Le Shônen. Destiné à l’origine aux jeunes garçons, les histoires se caractérisent par des récits d’aventure, ponctués de scènes d’actions, d’amitiés profondes qui se créent sur fond de lutte commune (entre héros mais aussi avec les héroïnes ultra-présentes et égales en force à leurs compagnons masculins). Ce genre rencontre en réalité le plus grand succès puisque les jeunes filles le lisent également (et beaucoup d’adultes aussi). Beastars, My Hero Academia, Boruto, HunterXHunter, The Promised Neverland, etc.
Le Shôjo s’adresse aux jeunes filles et se concentre sur la romance et l’amitié. Si les filles lisent sans problème les Shônen, vous aurez probablement plus de difficultés à mettre un Shôjo entre les mains d’un garçon. La jeune société étant très souvent le reflet de la vieille… Lady Oscar, Orange, Nana, Black Bird, Maid Sama !, 7 Seeds, etc.
Le Josei cible les lectrices plus âgées. Le dessin est plus réaliste que dans le Shôjo et les intrigues sont plus matures. All my darling daughters, Tokyo Tarareba Girls, Don’t Call it Mystery, Blue, Le Pavillon des hommes, etc.
Le Seinen. Moins un genre qu’une cible éditoriale, le Seinen brasse large dans les styles de dessin, les sujets abordés et les traitements du récit. Solanin, Monster, Berserk, Vinland Saga, la Voie du tablier, Ajin, etc.
Le Gekika. Genre datant des années 50 et destiné aux adultes. Le Gekika présente des récits complexes, souvent dramatiques mais toujours caractérisés par une grande profondeur psychologique. Ayako, Kamui Den, Peuple invisible, l’homme sans talent, etc.
Le manga de Sport. Tout est dit, non ? Haikyu !! Les as du volley ball, Captain Tsubasa, Blue Lock, Ao ashi, Slam Dunk, Real, Ippo, Eyeshield 21, etc.
Héroïne malgré moi tome 4 d’Amakura, Kana, 6,60€ (6,85€)
Ao ashi tome 3 de Kobayashi, Mangetsu, 6,70€ (6,95€)
Slam Dunk Star edition 20 d’Inoue, Kana, 9,50€ (9,90€)
Beyond the Clouds tome 4 de Nicke, Ki-Oon, 7,60€ (7,90€)
L'Eden des Sorcières tome 1 de Yumeji, Ki-Oon, 7,60€ (7,90€)
Platinum End tome 14 d’Ohba et Obata, Kazé, 6,90€ (7,20€)
Chainsaw Man tome 5 de Fujimoto, Kazé, 7,00€ (7,29€)
Tokyo Revengers tome 13 de Wakui, Glénat, 6,60€ (6,90€)
Bakemonogatari tome 11 de Nisioisin et Oh ! Great, Pika, 6,90€ (7,25€)
Jagaaan tome 12 de Kaneshiro et Nishida, Kazé, 7,70€ (8,05€)
Beastars tome 17 d’ Itagaki, Ki-Oon, 6,60€ (6,90€)
Beast Complex tome 1 d’ Itagaki, Ki-Oon, 6,60€ (6,90€)
La voie du tablier tome 6 de Kousuke Oono, Kana, 7,20€ (7,45€)
Yawara tome 5 d’Urasawa, Kana, 14,30€ (15,00€)
And (&) tome 1 de Mari Okazaki, Kana, 7,20€ (7,45€)
Tomie de Junji Ito, Mangetsu, 25,00€
L'École emportée - Édition originale 1 d’Umezu, Glénat, 10,30€ (10,75€)
Jojolion tome 21 d’Araki, Delcourt, 6,70€ (6,99€)
Gunnm Mars Chronicle tome 7 de Kishiro, Glénat, 7,30€ (7,60€)
GTO Paradise Lost tome 14 de Fujisawa, Pika, 6,70€ (7,00€)
My Hero Academia tome 29 de Horikoshi, Ki-Oon, 6,30€ (6,60€)
My Hero Academia- Team-up Mission tome 2 d’Akiyama, Ki-Oon, 6,60€ (6,90€)
Shaman King - The Super Star tome 1 de Takei, Kana, 7,20€ (7,45€)
Dr. Stone tome 16 de Boichi et Inagaki, Glénat, 6,60€ (6,90€)
Dragon Ball Super tome 14 de Toriyama et Toyotaro, Glénat, 6,60€ (6,90€)
Mission : Yozakura Family Coffret collector T3+magnet de Gondaira, Kana, 9.90€
Les Carnets de l'Apothicaire tome 4 de Mori, Ki-Oon, 7,60€ (7,90€)
The Ancient Magus Bride tome 14 de Yamazaki, Komikku, 7,90€ (8,25€)
Demon Slave tome 3 de Takahiro et Takemura, Kurokawa, 6,60€ (6,90€)
La Malédiction de Loki tome 8 de Hachi, Delcourt, 7,70€ (7,99€)
