vendredi 29 septembre 2023

Séance de dédicaces

RENCONTRE ANNULEE !

!! Nous sommes au regret de vous annoncer le report de la rencontre du 12 octobre ! Veuillez nous excuser pour ce désagrément.

Nous vous donnons rendez-vous le 12 octobre pour une nouvelle rencontre événement !

A l’occasion de la parution du tirage de tête de l’album « Les enfants du ciel » de Stephen Desberg et Bernard Vrancken, ce dernier nous fera l’honneur de venir dédicacer le tirage de tête de ce one-shot entre récit d’aventure et fresque historique. (TT exclusivement disponible chez Multi BD pour la Belgique).

⚠️ Bernard Vrancken dédicacera uniquement le tirage de tête.

Présenté sous coffret, cet ouvrage très grand format de 192 pages reprend les couleurs originales à l'encre et au lavis des planches et illustrations de Bernard Vrancken et comprend un cahier graphique de 8 pages avec des illustrations inédites. L'album, édité à 200 exemplaires, est numéroté et signé tout comme l'ex-libris qui l'accompagne. Il est vendu au prix de 220€.

La dédicace se déroulera le jeudi 12 octobre de 15h à 18h.

Les inscriptions se font au comptoir de la librairie ou par courrier électronique à l'adresse info@multibd.com .


Les Enfants du ciel

de Stephen Desberg et Bernard Vrancken, Daniel Maghen éditions

D’Europe en Égypte, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, la grande Histoire et la petite se rencontrent à travers les destins de trois personnages.

 Qu’est-ce que la vérité ? L’histoire débute en 1936 sous l’Italie de Mussolini. Alexandre, un archéologue spécialiste de l’Antiquité romaine, part à la recherche du tombeau de Juste de Tibériade. D’Europe en Égypte, de Beyrouth à Jérusalem, les destins d’Alexandre, Esther et Bilal s’entrecroisent... comme ceux d’autres hommes il y a deux mille ans.

Quelle vérité, dangereuse et cachée, surgira du passé ?

(Pour regarder, cliquez sur la vidéo ou sur ce lien.)


Hommage

Nous avons appris le décès du dessinateur américain Joe Matt.

L’auteur de « Peep Show » est considéré comme un des pionniers du récit autobiographique en BD. Avec la caractéristique qu’il était aussi parmi les plus cynique, tant envers la société qu’envers lui-même. Joe Matt semblait n’avoir aucun tabou ni aucune gêne à exprimer ces tabous crûment, sans retenue . Quand on lit du Joe Matt, même seul dans une pièce fermée, on se surprend à regarder autour de soi, avec un rire gêné, que personne ne peut voir ce qu’on est en train de lire (et qui nous fais rire). Comme du porno, quoi… 

Mais pour notre librairie, Joe Matt était aussi le tout premier dessinateur à avoir répondu (par une lettre manuscrite !) positivement à une demande d’interview pour une série de zines qui étaient offerts à l’achat d’un album des auteurs interviewés. (On vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître. Toutes fois, les interviews sont toujours consultables ici)

 

En hommage à l’auteur et à son travail, voici quelques extraits de cette interview :

Dans vos albums, vous mettez en scène différentes périodes de votre vie. Qu’est-ce qui vous a poussé à aborder l’autobiographie en bande dessinée ?

Joe Matt – C’est à Robert Crumb, et surtout à ses carnets de croquis, que je dois l’inspiration et la motivation qui m’ont mis sur cette voie. Deux ans après l’université et alors que j’étais un illustrateur raté, j’ai commencé à dessiner de courtes séries d’esquisses autobiographiques sous la forme de strips en me basant sur ses carnets. Celles-ci évoluèrent peu à peu vers un style qui sera celui de mes premières planches. Harvey Pekar (1) et Art Spiegelman furent aussi de grandes inspirations. Le Maus (2) de Spiegelman reste en fait le sommet auquel j’aspire sans cesse.

Pensez-vous aux réactions de vos lecteurs lorsque vous écrivez vos albums ? Vous dites-vous parfois : « cette histoire ne les intéresse peut-être pas » ?

Joe Matt – J’essaie de ne pas penser aux lecteurs ni à leurs réactions lorsque j’écris. Je ne les oublie jamais non plus. Je tente simplement de me concentrer sur l’expression de la Bande Dessinée, sur ce que le lecteur en perçoit et non pas sur ce qui est dit dans les faits.

Votre travail d’écriture est-il un exutoire à vos angoisses ou à vos frustrations ?

Joe Matt – Mon écriture est un exutoire à mes frustrations et à mes agonies… ou plutôt ces dernières nourrissent mon écriture mais elles ne résolvent rien entièrement. Je me sens momentanément mieux de les avoir exprimées mais les problèmes semblent toujours rester.

A-t-il été difficile de trouver votre place dans les rayons au milieu de toute cette production d’albums de super-héros ?

Joe Matt – Lorsque je réalise mes bandes dessinées, je ne pense pas aux libraires spécialisées en bandes dessinées ni aux chiffres du marché des super-héros. Je tente simplement de créer des albums en espérant qu’ils seront assez bons au final pour leur assurer une place dans les librairies qu’elles soient générales ou spécialisées.

Vous n’êtes pas ce qu’on pourrait appeler un auteur prolifique. C’est dû à la paresse ? Au perfectionnisme ? Aux deux ?

Joe Matt – Je suis le bâtard le plus paresseux de cette planète ! C’est un fait ! De plus, je suis un perfectionniste absolu… il y a plus de typex que d’encre sur mes planches (9). C’est un véritable cauchemar d’être moi et d’abattre ne fusse qu’un peu de travail. Je préfère lire, rouler à vélo, dormir, manger, me masturber ou rendre visite à des amis que de dessiner. Ce n’est pas seulement que je travaille lentement… je fais tout lentement ! C’est tout simplement horrible comme le temps passe vite à mes yeux. Rajoutez à ça que je suis toujours seul et misérable ! Comment des mecs s’arrangent pour garder leurs copines est une énigme pour moi. Quoi qu’il en soit, beaucoup trop de mon énergie est gaspillée à essayer d’avoir une copine ou à me transir dans la douleur de ne pas en avoir une (en d’autres termes : dans la masturbation compulsive). Telle est ma malédiction.

(Lire l’interview complète)

 

L'année passée, les éditions Revival ont eu la bonne idée de rassembler pour la première fois l’ensemble des quatorze numéros du comics de Joe Matt, Peepshow, parus de 1992 à 2006. Et cerise sur le gâteau, cette intégrale est agrémentée de trois histoires inédites en français.

Si vous aimez Joe Matt, les autobiographies trash, l’humour noir, les critiques sociales acides et les auteurs indépendants, vous aimerez aussi:

Peter Bagge (Hate Doubles vies), Julie Doucet (Suicide TotalMaxiplotte), Alison Bechdel (Fun HomeLe secret de la force surhumaine), Derf Backderf (TrashedTrue stories) et bien d’autres que nous serons heureux de vous conseiller à la librairie. (Pour lire les chroniques, cliquez sur les liens)


Chronique: Monotone Blue par Nagabe

Il colore mon pays

Hachi le chat trouve tout monotone à l’instar de sa perception des couleurs qui se limite aux ondes bleues et vertes (véridique !) Alors quand il découvre par hasard ce que le nouveau, Aoi le lézard, cache sous ses vêtements, sa vision de la vie s’en trouve subitement plus colorée !

On retrouve dans « Monotone blue » les thèmes chers à Nagabe (« L’enfant et le maudit ») : la solitude, la peur de l’autre, la découverte de soi et finalement l’interaction bénéfique avec l’autre. Mais il y est aussi question de réalités plus violentes comme le harcèlement scolaire, l’abus de force des plus forts contre les plus faibles,…

L’univers surréaliste dans lequel les protagonistes évoluent (littéralement et émotionnellement) immerge complètement le lecteur dans l'atmosphère et les émotions des personnages.

Nagabe joue avec les comportements animaliers pour mieux appréhender les agissements humains (comme lorsque Hachi le chat mort Aoi, à la fois sa proie naturelle et l’objet de son désir). Résultat, on s’identifie, on évolue avec les personnages, on se laisse submerger par leurs sentiments et à la fin de cette tranche de vie, on regrette de devoir déjà les quitter…

Monotone Blue par Nagabe chez Noeve Grafx9,50€ (9,95€)


Fariboles

Assurancetourix par Eric Delaval pour Fariboles

Auteurs : Uderzo et Goscinny

Tirage : 499 exemplaires

Hauteur : 17 cm

Matière : Résine

Son prix est de 499€. Disponible en précommande, sa réception en magasin est prévue début décembre. (Nous ne faisons pas d’envoi !)


Parutions récentes

Undertaker # 7 - Edition crayonnée par Ralph Meyer, Caroline Delabie e Xavier Dorison, Dargaud, 21,50€ – Edition normale à paraître le 10 novembre.

La Fortune des Winczlav # 3 par Van Hamme et Berthet, Dupuis, 16,20€ (16,95€).

Le Nom de la Rose # 1 par Milo Manara et Umberto Eco, Glénat, 16,70€ (17,50€)

Chroniques diplomatiques : Birmanie, 1954 par Tristan Roulot et Christophe Simon, Le Lombard, 15,20€ (15,95€)

Tango # 7 par Xavier et Matz, Le Lombard, 15,20€ (15,95€)

Bellatrix # 1 par léo, Dargaud, 13,30€ (14,00€)

Sans Ambition par Simon Hanselmann, Huber, 20,00€

Le Visage de Pavil par Jérémy Perrodeau, 2024, 27,60€ (29,00€)

Chumbo par Matthias Lehmann, Casterman, 28,50€ (29,95€)

Le Dernier Sergent # 1 par Fabrice Neaud, Delcourt, 33,40 (35,10€)

Ana et l'Entremonde # 2 par Marc Dubuisson et Cy., Glénat, 16,20€ (16,95€)

One Piece # 105 par Eiichiro Oda, Glénat, 6,70€ (6,99€)

Saint Seiya - Time Odyssey # 2 par Jérôme Alquié et Arnaud Dollen, Kana, 13,30€ (13,95€)

Frieren # 10 par Kanehito Yamada et Tsukasa Abe, Ki-oon7,60€ (7,95€) – Edition collector 11,90€

Solo Leveling # 11 par Dubu (Redice Studio) et ChugongKbooks14,30€ (15,00€)

Sakamoto Days # 10 par Yuto Suzuki, Glénat, 6,70€ (6,99€)

Les chefs-d'oeuvre par Lovecraft - L'abomination de Dunwich # 1 par Gou TanabeKi-oon17,10€ (18,00€)

MFK2 # 2 par Run, Rue par Sèvres, 18,00€ (18,90€)

DCeased # 3 par Tom Taylor et Trevor Hairsine, Urban Comics, 20,00€ (21,00€)

Hitman # 1 par Gath Ennis et John McCrea, Urban Comics, 37,10€ (39,00€)


vendredi 15 septembre 2023

 Le BD Comic Strip Festival 2023 est déjà fini… Vive le BD Comic Strip Festival 2024 !

En attendant, on félicite les lauréat.e.s des Prix Atomium de cette année, on vous concocte une séance de signatures exceptionnelle et on se prépare pour les 77 ans du Lombard.

Pfff ! On n’est pas près d’arrêter de faire la fête ! On n’a pas un métier facile, savez-vous !



Session de signatures exceptionnelle !

Nous aurons le plaisir d’accueillir le mangaka Takeshi Obata ( "Death Note", "Bakuman") et le romancier Akinari Asakura pour une séance de signatures dans notre librairie le mardi 3 octobre de 17h à 19h !

Tous deux seront présents à l’occasion de la parution de leur nouvelle série commune : « Show-ha Shōten » (dont le 2ème volume vient de paraître en français cette semaine).

Pendant cette dédicace, les auteurs signeront et opposeront un cachet UNIQUEMENT dans les mangas  « Show-ha Shōten ».

Par ailleurs, cet évènement ne sera accessible que sur inscription (au comptoir de la librairie ou par courrier électronique à l'adresse info@multibd.com.) En cas d'inscriptions trop nombreuses, nous procéderons à un tirage au sort dont le résultat sera communiqué par mail aux chanceux et aux moins chanceux.

Azemichi Shijima est sans aucun doute l’un des adolescents les plus drôles du Japon, mais ça, tout le monde l’ignore. Atteint d’anxiété sociale, il préfère passer inaperçu et cache à son entourage les sketchs et les blagues qu’il écrit. Pourtant, le jour où son camarade de classe Taiyou Higashikata, acteur et improvisateur hors-pair, découvre son talent et parvient à le convaincre de former avec lui un duo comique, c’est à corps perdu qu’il se jette dans l’aventure. Désormais les deux jeunes n’ont plus qu’un seul objectif : devenir les meilleurs humoristes du pays ! Takeshi Obata s’allie avec le romancier Akinari Asakura pour cette nouvelle série dont l’ambiance ne sera pas sans rappeler celle de son illustre « Bakuman ». Une chose est sûre : émotions, good-vibes et humour vous attendent dans cette course effrénée vers la gloire. Alors, embarquez !   (Gaëlle)


Ce 26 septembre, Le Lombard, l’éditeur de tous les jeunes de 7 à 77 ans fêtera ses 77 ans !

Un anniversaire bien symbolique qui se doit d’être fêté dignement avec notamment un numéro spécial du Journal Tintin. L’ouvrage, composé de près de 400 pages de courts récits, rassemble plus de 80 autrices et auteurs réunis pour rendre hommage aux héros qui ont fait et feront rêver toutes les générations.

Après avoir publié un premier recueil de 777 pages en 2016 reprenant des histoires courtes parues dans l’édition belge du journal Tintin, cet anniversaire unique en son genre sera également l’occasion de redécouvrir des histoires courtes parues, pour leur part, exclusivement dans l’édition française du journal. On retrouvera dans ce second recueil de La grande aventure du journal Tintin,  les grands auteurs qui ont fait l’histoire du journal.

Entre 1972 et 1973, Turk et De Groot décident de doter la Belgique d'une réponse moderne à la Tapisserie de Bayeux et livrent chaque semaine le dessin d’une portion de rue, proposant aux lecteurs de les assembler pour former ce qu’ils appelaient La plus grande image du monde . En 2023, Le Lombard édite pour la première fois cette aventure éditoriale dans un ouvrage qui réunit tous ces dessins sous forme d’un immense Leporello de plus de 15 mètres !

Pour aller plus loin « Le Lombard fête ses 77 ans : retour sur l’histoire de la maison d’édition fondée par Hergé » (rtbf.be)


BD Comic strip Festival: Les Prix Atomium 2023

Prix Raymond Leblanc de la Jeune Création

Récompense le travail d’un jeune auteur n’ayant pas publié plus de deux albums.

Lauréat :  Antoine Schiffers – "Katyaà paraitre à la suite de l’obtention de ce prix chez Casterman.

Prix Fédération Wallonie-Bruxelles en bande dessinée

Récompense un travail d'auteur(s) de la Fédération Wallonie-Bruxelles ayant développé une création originale et innovante.

Lauréat : Pierre Bailly – "Ludo" et "Petit Poilu" chez Dupuis, "Le Muret" chez Casterman.

Le Muret de Pierre Bailly et Céline Fraipont

Alcool et cigarettes rythment le quotidien morne de Rosie, jeune adolescente délaissée par ses parents séparés. En perte de repères, elle rencontre Jo, un garçon un peu plus âgé, débrouillard et réceptif, et découvre au travers de lui le punk rock, et ce qui va avec… Les auteurs de la série jeunesse Petit Poilu investissent habilement les lieux communs propres à ce type d’histoires pour nous livrer un récit juste et touchant. Le Muret est un portrait en noir et blanc tout en nuances d’un âge de la vie et d’une époque, la Belgique de la fin des années 80. (Pascal)

Prix Atomium de Bruxelles

Récompense un ou des auteur(s) qui ont su mettre en avant Bruxelles dans leur travail.

Lauréats  : Julien Hervieux et monsieur le chien – "Le petit théâtre des opérations", éditions Fluide Glacial

Prix PREM1ÈRE du Roman Graphique

La RTBF récompense un genre en phase avec les auditeurs de la PREM1ÈRE.

Lauréat : Neyef – "Hoka Hey !", éditions Rue de Sèvres.

Hoka Hey ! de Neyef

Georges a toujours vécu dans la réserve de Pine Ridge auprès du pasteur Clemente qui l’élève en « bon petit chrétien », chassant ainsi l’Indien qui sommeille en lui. Sa vie bascule le jour où le pasteur est sauvagement assassiné par Little Knife, un Indien Lakota en quête de vengeance. Témoin du meurtre, le petit Georges se retrouve embarqué par cet homme sanguinaire et ses deux acolytes, No Moon, une Amérindienne, et Sully, un immigré irlandais. Tandis qu’il découvre pour la première fois l’étendue du monde qui l’entoure ainsi que le sort réservé par les blancs à son peuple, Georges se lie d’amitié avec ses ravisseurs et renoue peu à peu avec ses racines. Pourtant, pour ce petit garçon qui n’est ni véritablement blanc ni véritablement Lakota, la confrontation entre ces deux mondes que tout oppose pourrait bien laisser des traces indélébiles… Véritable ode à la différence et quête identitaire, « Hoka Hey ! » mêle brillamment les codes du western et du récit d’apprentissage. Neyef signe ainsi un one-shot rythmé, plein de rebondissements où l’émotion n’est pourtant jamais bien loin. Alors, au gré de ses illustrations détaillées et colorées, plongez dans les paysages à couper le souffle des États-Unis de la fin du 19ème siècle, là où le danger rode à chaque instant. Vous ne serez pas déçus du voyage !   (Gaëlle) 

Prix Cognito de la BD historique

Récompense la meilleure bande dessinée à caractère historique. Le Prix Cognito de la BD historique est remis par la Fondation Cognito, fondation privée qui a pour vocation de faire découvrir ou redécouvrir l’histoire à travers la bande dessinée.

Lauréate  : Aimée de Jongh – "Jours de sable", éditions Dargaud.

Jours de sable d’Aimée de Jongh

États-Unis, années 30. En plus de subir une crise économique sans précédent, les fermiers du Dust Bowl, une région à cheval entre l’Oklahoma, le Kansas et le Texas, doivent faire face à de violentes tempêtes de sable. Un photoreporter dénommé John Clark est missionné par la Farm Security Administration pour aller témoigner sur place de la situation désastreuse des habitants. Comme son père absent, John souhaite devenir un « photographe sérieux ». Ce job est l’opportunité rêvée. Cependant entre l’attitude méfiante des habitants et ses propres tourments, sa mission ne sera pas aussi aisée que prévu. Aimée De Jongh nous dévoile un très beau récit mêlant réalité historique et fiction. Son dessin nous plonge en plein cœur des tempêtes de sable dépeignant ainsi avec force cette catastrophe climatique qui a marqué l’histoire des États-Unis tout en révélant une autrice de talent. A lire sans plus attendre. (Gamaya)

Prix Le Soir de la BD d’actualité

Récompense l’ouvrage qui a excellé dans le traitement du monde qui nous entoure sous la forme d’un reportage en bande dessinée.

Lauréats : Émilie Gleason et Arthur Croque – "Junk food", éditions Casterman.

Junk Food par Émilie Gleason et Arthur Croque

Junk Food raconte l’histoire de la pétulante Zazou, une jeune boulimique de 19 ans se rendant à sa première réunion des Food Addicts Anonymes — les Alcooliques Anonymes de la nourriture. Elle y fera la connaissance de différents malades qui racontent leurs vécus au groupe… Encore largement méconnue du grand public, la dépendance aux aliments industriels est une réalité pour des milliers de personnes. En donnant la parole aux victimes, ces food addicts qui ont perdu tout contrôle sur leur alimentation, Junk Food lève le voile sur ces drogues du quotidien, surchargées en sucre et en gras, qui détruisent notre santé et parfois nos vies. (Pascal)

Prix Atomium Spirou jeunes auteurs

Récompense des histoires courtes en BD (maximum 4 planches) qui mettent en scène Spirou et Fantasio. Prix destiné aux plus de 18 ans ayant publié au maximum 3 albums.

Lauréat : "Inventures" – Pascal Thivillon – à paraitre à la suite de l’obtention de ce prix dans le journal Spirou.

Prix Atomium de la BD citoyenne

Récompense un ouvrage de bande dessinée qui suscite une réflexion éthique et sociétale, et qui aborde de manière positive, constructive et généreuse des enjeux de société contemporains.

Lauréat : Vincent Jarousseau (dessin Thierry Chavant) – "Les Femmes du lien", éditions Les Arènes


Nouveautés (septembre 2023)

L'Ombre des Lumières # 1 par Alain Ayroles et Richard Guérineau, Delcourt, 21,90€ (2305€) - Édition N&B, 29,10€

Lady S # 16 par Aymond et Bollée, Dupuis, 12,40€ (12,95€)

Spirou et la Gorgone bleue par Dany et Yann, Dupuis, 18,10€ (18,95€)

Amours fragiles # 9 par Beuriot et Richelle, Casterman, 17,10€ (17,95€)

Au coeur des solitudes par Lomig, Sarbacane, 27,60€ (29,00€)

Saint-Elme # 4 par Serge Lehman et Freparrik Peeters, Delcourt, 16,20 (17,05€)

Le Convoyeur # 4 par Armand et Roulot, Le Lombard, 15,20€ (15,95€)

Pendragon # 1 par Le Gris, Dellac et Martinello, Glénat, 13,80€ (14,50€)

La Voie du Glaive # 1 par DellacBrugeas et Herzet, Le Lombard, 15,20€ (15,95€)

Elecboy # 4 par Jaouen Salaün, Dargaud, 15,20€ (15,95€)

Valkyrie Apocalypse # 17 par AjichikaUmemura et Fukui, Ki-oon7,60€ (7,95€)

Gantz :E # 4 par Hiroya Oku et Jin Kagetsu, Delcourt, 8,20 (8,55€)

Mashle # 16 par Hajime Komoto, Crunchyroll, 6,70€ (6,99€)

Tokyo Revengers # 26 par Ken Wakui, Glénat, 6,70€ (6,99€)

Fullmetal Alchemist Perfect # 16 par Hiromu Arakawa, Kurokawa, 11,40€ (11,95€)

Cat's Eye - Perfect Edition # 2 par Tsukasa Hojo, Panini, 16,20€ (17,05€)

Monotone Blue par NagabeNoeve Grafx9,50€ (9,95€)

Hirayasumi # 3 par Keigo Shinzo, Le Lézard Noir, 12,40€ (13,05€)

Rain par Joe Hill, Booher et Thorogood, Hi Comics, 19,10€ (20,05€)

Friday # 2 par Ed Brubaker, Marcos Martin et Muntsa Vicente, Glénat, 18,10€ (19,00€)


 
Free counter and web stats